Nous sommes une société spécialisée dans la sauvegarde des archives vidéo personnelles depuis 1998 et nous livrons à Vesoul. La qualité de nos transferts de films argentiques 8mm est impeccable.
Nous utilisons du matériel vidéo professionnel et des process de transfert numérique des plus récents.
Vers Vesoul, Nous convertissons les plus anciens formats Vidéo, Audio et supports Photographique.
Le télécinéma est le nom donné aux différentes techniques optiques et électroniques qui permettent de convertir un film (pellicule argentique) en source vidéo, principalement adaptée à la télédiffusion,
à l'enregistrement (magnétoscope) ou à l'édition de supports vidéo (vidéocassette, DVD, Blu-ray, etc.).
Il s'agit de transférer le contenu de chaque image et de convertir la cadence des images depuis la cadence cinématographique (24 images par seconde) vers la cadence des images de télévision.
La technique utilisée dépend du standard de télévision auquel sont destinées les images ; on distingue deux techniques majeures :
le 3:2 pulldown (parfois appelé 2:3 pulldown), utilisé en NTSC, et le 2:2 pulldown (ou PAL speed up), utilisé en PAL et en SECAM.
Les films de cinéma sont filmés à 24 images par seconde. Chaque image est un photogramme, semblable à une photographie.
Les standards de télévision usuels (PAL, SECAM et NTSC) diffusent des images entrelacées.
Cela signifie que chaque image est divisée en deux demi-images appelées trames : la première est composée des lignes paires de l'image, l'autre des lignes impaires.
Les deux trames d'une même image sont transmises (et reproduites à l'écran) l'une après l'autre.
Ainsi, en télévision, la cadence importante n'est pas la cadence des images mais bien la cadence des trames : 50 trames par seconde en PAL et SECAM, 59,94 trames par seconde en NTSC.
Il n'y a donc pas en général de correspondance exacte entre la cadence des films et celle de la télévision,
il faut donc trouver un moyen de convertir la cadence des films pour qu'elle corresponde à la cadence exigée par le standard de télévision sans variation de vitesse ni saccades perceptibles..
Un appareil de visionnage adapté à la pellicule cinéma est couplé à un capteur (caméra vidéo ou scanner informatique). Chaque image composant le film est captée par la caméra pour être ensuite traitée puis sauvegardée.
Les traitements de l'image et leur sauvegarde peuvent être analogiques ou de plus en plus souvent numériques.
Le tout premier type de télécinéma était constitué d'un projecteur et d'une caméra de télévision. Avant l'invention du magnétoscope, la diffusion se déroulait obligatoirement en direct.
Ce principe a été exploité par les chaînes de télévision entre 1930 et 1955.
En France cependant la diffusion en direct à l'antenne se poursuit au moins jusqu’en 1983 :
la totalité de la publicité et les films longs métrage pour le 35mm, les documentaires les productions françaises et les séries américaines pour le 16mm méme si ces dernières sont tournées en 35mm.
Avec l'invention du magnétoscope et la possibilité d'enregistrer une image vidéo, Il a ensuite été remplacé par un dispositif autonome réunissant à la fois le système de projection et l'unité d'enregistrement vidéo.
Depuis les années 1980, des circuits électroniques puis des systèmes numériques permettent une conversion simplifiée de la source cinématographique.
Ces dispositifs compensent les variations de vitesse, les artefacts de l'image et les effets indésirables.
Par extension, le terme désigne le traitement permettant d'adapter une séquence de film au format numérique choisi.
Ce traitement est basé sur l'addition de trames complémentaires sur l'image fixe, procédé qui permet de transférer un film argentique (8mm, Super 8, 16 mm, 35mm, etc.) vers un support vidéo.
La récupération de films argentiques, souvent l'une des variantes du 8 mm, peut être réalisée avec un matériel relativement simple. Il est nécessaire de disposer de :
un projecteur cinéma, de préférence à vitesse variable,
une caméra, de préférence numérique,
un écran translucide avec miroir ou opaque.
Avantage et inconvénients d'un écran translucide : Avec cet équipement, il est assez simple d'obtenir une image sans trop de déformation, car la caméra est placée en face de l'axe du projecteur.
Le grain de l'écran peut être visible, s'il n'est pas de qualité médiocre et si l'écran est assez grand,
Le contraste est fort et la valeur de blanc a tendance à être saturée,
Il y a un point chaud, c'est-à-dire que le centre est plus clair que les bords
Avantage et inconvénients d'un écran opaque : Plus simple à exploiter (une feuille de papier blanc non granuleux, comme du papier photo pour imprimante, suffit),
Problèmes de parallaxe et de déformation, voire de mise au point (préférez le mode manuel dans tous les cas).
Reflets et ombres : En fait, ces défauts sont globalement mineurs, ce qui rend les deux méthodes à peu près équivalentes.
Le scanner à films représente la solution la plus évoluée tant pour son rendement que la qualité obtenue.
On obtient ainsi la disparition des principaux défauts optiques, tant du projecteur que de la caméra (courbure de champ, vignetage, etc.),
un synchronisme amélioré des images capturées, des bords nets, étalonnage numérique, compensation des contrastes, etc.
Toutefois, ce type de matériel n'est pas disponible pour le grand public et la capture complète d'un long-métrage nécessite une manipulation complexe et représente un travail de longue durée.
Parmi les réglages du télécinéma, l'un des plus complexes - en dehors de l'étalonnage image - concerne l'adaptation des proportions du film original vers celui de la télévision.
Ainsi, la vidéo et la télévision exploitent le format d'image convenionnel 4/3, soit une image 1,33 fois plus large que haute. La version « large » est le 16/9, soit une image 1,78 fois plus large que haute.
En revanche, les formats cinéma exploitent le plus souvent un autre rapport (l'image est souvent plus large, avec typiquement un rapport de 1,37, 1,66, 1,85 ou 2,35).