Nous sommes une société spécialisée dans la sauvegarde des archives vidéo personnelles depuis 1998 et nous livrons à Antony. La qualité de nos transferts de films argentiques 8mm est impeccable.
Nous utilisons du matériel vidéo professionnel et des process de transfert numérique des plus récents.
Vers Antony, Nous convertissons les plus anciens formats Vidéo, Audio et supports Photographique.
Le 8 mm « standard » s'est d'abord présenté sous la forme « Double 8 » : c'est-à-dire un film de 16 mm de large à deux rangées de perforations qui est chargé dans la caméra et dont la bobine est retournée une fois l'exposition de la première moitié du film réalisée. Cette manipulation devant se dérouler à l'abri de la lumière, elle perturbait grandement les prises de vue. Un autre inconvénient était qu'il arrivait de retourner une fois de trop le film et d'exposer deux fois la pellicule.
C'est après le développement que le film était coupé en deux dans le sens de la longueur, les deux parties étant collées bout à bout.
C'est sous ce format que l'on a vu peu à peu l'automatisation progressive et le perfectionnement des caméras :
passage de l'entraînement à ressort au moteur électrique ;
passage du réglage d'ouverture manuel à la cellule incorporée puis à la cellule couplée ;
apparition de la visée reflex à travers l'objectif ;
remplacement de la tourelle multiobjectif par un objectif zoom ;
vitesse variable et obturateur variable ;
marche arrière et fondu enchaîné.
De même c'est sous ce format que sont apparus les premiers films couleurs pour amateurs comme l'Agfachrome et le Kodachrome.
Les résultats obtenus étaient très corrects, souvent à la hauteur, voire meilleurs que le Super 8.
Le format n'a pas disparu : il est toujours possible de trouver de la pellicule vierge et donc de filmer en double 8.
Le format de pellicule cinématographique désigne la dimension de la pellicule. Le concept est distinct de celui de format de projection.
La pellicule utilisée peut être de largeur de dimensions variables et supporte généralement la bande sonore. Le format est indiqué par la largeur de la pellicule en millimètres :
8 mm, super 8 : Le super 8 possède des qualités de texture d'image, de maniabilité et de faible coût qui le font encore utiliser de nos jours par le cinéma amateur (bien que la vidéo l'ait presque entièrement remplacé), par une société japonaise de télé-surveillance, mais surtout par le cinéma expérimental (dont certains festivals montrent encore chaque année de nombreux films dans ce format) et par quelques réalisateurs en tant que pellicule intermédiaire (tournage en super 8, télécinéma, et kinescopage en 35 mm).
9,5 mm : Le format 9,5 mm, le premier véritable format amateur, est encore utilisé pour sa qualité d'image comparable au 16 mm.
16 mm, super 16 : Le 16 mm est utilisé pour le cinéma semi-professionnel ou lorsqu'il est important d'avoir une infrastructure légère : cinéma documentaire, cinéma expérimental.
35 mm : Le 35 mm est le format professionnel le plus courant dans le cinéma de fiction traditionnel.
70 mm : Le 70 mm est utilisé en remplacement du cinémascope (seules certaines salles sont équipées de projecteurs 70 mm).
Projecteur Super8 sonore magnétique : La pellicule est munie de perforations qui permettent son entraînement et l'immobilisation d'une portion de la pellicule pour la projection de l'image. Les pellicules 8 mm et 16 mm ont leurs perforations sur un seul côté, avec une seule perforation par image. Les pellicules 9,5 mm ont leurs perforations au milieu de la pellicule, entre les images. Les pellicules de 35 et 70 mm ont des perforations des deux côtés, et plusieurs perforations par image (4 de chaque côté pour le 35 mm), ce qui permet une meilleure stabilité de l'image ; en revanche, si l'on doit couper une partie du film pour des raisons de détérioration, il est nécessaire de couper une image entière, sous peine d'introduire un décadrage.
Il faut distinguer le format de la pellicule du format de projection, c'est-à-dire de la largeur de l'image, qui est elle un choix du réalisateur. Afin de donner un format plus large à certains films, on utilise la technique de l'anamorphose : une lentille cylindrique verticale comprime la vue horizontalement à la prise de vue, et une lentille inverse le rétablit dans ses proportions originales à la projection.